16 janvier 2010
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Déclaration du PCF des Pyrénées Orientales
Le Parti Communiste français souhaite en tout premier lieu apporter tout son soutien et exprimer sa vive émotion aux familles des victimes de ce drame et tout particulièrement à la famille
de Sylvie Brazes qui y a laissé sa vie.
Ce drame d’une extrême violence au sein même de l’université ne doit pas rester sans réponse de la part du gouvernement.
Une nouvelle fois encore hélas, il faut des victimes pour le mettre devant ses responsabilités quant à sa politique de démantèlement des services publics.
Qu’il s’agisse de l’hôpital ou de tout autre. Si chacun s’accorde à dire que le tout sécuritaire et la récupération médiatique n’a pas sa place ici (dixit V. Pécresse), il n’en demeure pas moins que dans les agissements du gouvernement Sarkozy, tout est fait pour entretenir un tel climat.
L’hôpital comme l’université est en manque de moyens et ça va s’aggraver. Manque de lits et de places dans les hôpitaux psychiatriques et publics, de personnel d’accueil, manque de médecins, manque de personnel soignant. Le service public hospitalier souffre de toutes ces carences car il n’a plus les moyens d’assurer le lien indispensable entre le malade et la société. Combien de temps encore allons nous subir une telle politique, autiste et désastreuse qui touche désormais profondément l’ensemble des Français ?
Ce drame d’une extrême violence au sein même de l’université ne doit pas rester sans réponse de la part du gouvernement.
Une nouvelle fois encore hélas, il faut des victimes pour le mettre devant ses responsabilités quant à sa politique de démantèlement des services publics.
Qu’il s’agisse de l’hôpital ou de tout autre. Si chacun s’accorde à dire que le tout sécuritaire et la récupération médiatique n’a pas sa place ici (dixit V. Pécresse), il n’en demeure pas moins que dans les agissements du gouvernement Sarkozy, tout est fait pour entretenir un tel climat.
L’hôpital comme l’université est en manque de moyens et ça va s’aggraver. Manque de lits et de places dans les hôpitaux psychiatriques et publics, de personnel d’accueil, manque de médecins, manque de personnel soignant. Le service public hospitalier souffre de toutes ces carences car il n’a plus les moyens d’assurer le lien indispensable entre le malade et la société. Combien de temps encore allons nous subir une telle politique, autiste et désastreuse qui touche désormais profondément l’ensemble des Français ?
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